Chemin de la Florentine j'ai mon lutin, ni korrigan ni poulpiquet, un lutin en bonne et due forme jusqu'au bonnet que je devine.
Il apparaît dans le feuillage d'un lierre aux alentours de minuit. Il se tient toujours au même endroit, je me montre très discret, je le salue. Il est grand et assez costaud. Il me fait penser à Barnabé, le Barnabé du A de l'Atlantique. Je suis heureux de le rencontrer, ressent-il cette joie ?
Commentaires
J'espère que oui. Le lutin autant que vous, heureux de vous rencontrer.
Le Barnabé du A de l'Atlantique... Cela vient-il d'où je pense ? Fred ? Je l'écris avant aller vérifier. il y a un long, long fil entortillé dans ma mémoire. Celui de la nostalgie de la lecture au lit, couché, la couverture remontée jusqu'au bras qui tenaient le livre, j'avais froid. Je rêvais avant le sommeil.
heureux de vous lire. Je ne sais pas d'où vient ce Barnabé, de toute évidence il y a eu collision avec l'univers de Fred et comme le dirait le chat de Schrödinger, dans le monde des particules l'ensemble constitue bien davantage que la somme des parties. Mais je ne connais pas le nom du chat !
Voici le Fred auquel je pensais. Le chat je ne sais plus comment il s'appelle. Ni même si c'était un chat. Ce qui ne veut pas dire que c'est la nuit et que tout soit gris.
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Petits départs. J'aime ce titre. J'aurais pu, malgré que le premier coup d'œil suggère des destinations connues, intituler mon carnet ainsi. Je suis heureux de croiser votre chemin.