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peau de Terre

 

 

en tant qu'espèce, nous avons en cinquante années détruit et exploité au-delà du raisonnable (résonnable ?)

ce qui nous avait été laissé en héritage par nos anciens et cela ne peut plus durer

et la Terre se charge à sa manière de nous le faire savoir

DSCN1566.JPGdans "l'hypothèse Gaïa", Lovelock retrace l'histoire d'une planète prise dans sa globalité, non pas un organisme doué d'intelligence comme l'ont si vite caricaturé les théoriciens new-âge,

mais plutôt un système capable d'autorégulation, une sorte de cellule à une autre échelle, celle du cosmos et dont la tâche serait de préserver les conditions nécéssaires à la vie

et peut-être , mais là c'est moi qui extrapole, de la diffuser ailleurs en utilisant pour cela l'espèce

qui sera à même de le faire

serons-ce nous les hommes ?

Commentaires

  • Vous croyez les hommes capables de cela ? Le croyez-vous vraiment ? Sera-ce nous ? Ce ne sera pas vous ou moi. Mais peut-être bien l'humanité, au rêve de laquelle vous aurez contribué. C'est le billet (parmi tous ceux que je lis) le plus optimiste (le moins pessimiste) que j'ai lu depuis longtemps. Merci. Vive le massif de l'Albera !

  • cher Marc, c'est sûr, les cartes en main ne sont pas terribles mais une nouvelle distribution peut tout changer et puis l'optimisme chez moi est une forme de courtoisie, rajoutez à cela quelques antidotes au désespoir et le tour est joué !

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