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mangeons !

 j'ouvre les cornets il y a parfois du sable je les lave à grande eau sinon tout se mange dans le supion il n'y a rien à jeter même les yeux et le bec
je n'en dirais pas autant du pêcheur qui me les a vendus ce matin, on sent qu'il a dû plus d'une fois râcler le fond avec ou sans filet mais je l'aime bien ce peau-rouge, il ne fait pas semblant.
Il me parle des vents qui ne sont plus comme avant et aussi d'un vieux bouquin sur les terre-neuvas, rien que du très classique pour un pêcheur et puis voilà que le bar l'appelle mais ça ne fait pas partie de ma feuille de route...
Pour en revenir à nos supions, je les verse dans la poêle où dorent déjà des rondelles de patates et d'oignons, je prépare un fond de curry autant pour la couleur que pouPhoto 206.jpgr le goût et voilà, il n'y a plus qu'à

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